Il y a les quarante chiens d’Actéon, en voilà quelques uns tout droit sortis du texte d’ovide paragraphe 192:
[192] … Mélampus, né dans la Crète, et l’adroit Ichnobates, venu de Sparte, donnent par leurs abois le premier signal. Soudain, plus rapides que le vent, tous les autres accourent. Pamphagos, et Dorcée, et Oribasos, tous trois d’Arcadie; le fier Nébrophonos, le cruel Théron, suivi de Lélaps; le léger Ptérélas, Agré habile à éventer les traces du gibier; Hylée, récemment blessé par un sanglier farouche; Napé engendrée d’un loup; Péménis, qui jadis marchait à la tête des troupeaux; Harpyia, que suivent ses deux enfants; Ladon, de Sicyone, aux flancs resserrés; et Dromas, Canaché, Sticté, Tigris, Alcé, et Leucon, dont la blancheur égale celle de la neige; et le noir Asbolus, et le vigoureux Lacon; le rapide Aello et Thoüs; Lyciscé, et son frère le Cypriote; Harpalos, au front noir tacheté de blanc; Mélanée, Lachné, au poil hérissé; Labros, Agriodos, et Hylactor, à la voix perçante, tous trois nés d’un père de Crète et d’une mère de Laconie; et tous les autres enfin qu’il serait trop long de nommer.
En voilà quelques uns des miens: